Arganier des Amghars passés-présents, ce rêve me hante. Comme on porte les pustules des autres, qu’on gratte la teigne des qu’on ne peu dire, penchés sur leur excès de vérole.
Comme le tourment qu’on n’y peu rien, qui enrage la dent qui ne mord plus, casée parmi tant qui se rangent, qui s’arrangent un sourire au plaisir des botteurs des ânes. Après la prière sur les ancêtres et leurs morts tués bien sûr.
Bon élève, bonnes notes, bonne a tout taire, il me colle comme un Bang de conscience le rêve.
L’abcès de Cartage éructe à noyer les vallées du Nile, de suite les océans ne sont plus loin.
Le marécage est saisi de ce sent qui n’en fini pas de se faire pousser des nerfs. La fleure qu’on jure apaisante inverse l’apesanteur. Elle s’envole!
La vallée s’efface, Ramsès se noie, et l’orage baroudeur brasse les horizons. Les regards accrochent les néants du ciel qui s’élève. Moïse! Que va ce vent?
Soumis j’inverse le cœur pour une prière de pluie. Puissent les océans fusent. Pitié. Une fleur qui a des ailes!
Le rêve récure.. Je cahote la conscience des autres, comme grand-mère suppliciait sa peau de chèvre. La cruche est vide, l’agent a fondu son beurre. La peau des mouches qui reste me tente. J’ai faim.
Dur à chier
Un Arganier.
Moh
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