"Diplômés chômeurs". Exclusivité marocaine –ou presque- selon ce chercheur de Dimanche. La majorité des 36 000 articles affichés par google.fr en font chose du Maroc.
Mal éduqués qu’ils disent d'eux même. Evidement.
Là devant des petites filles dont 90% restent analphabètes, sans écoles, sans horizons qui non plus n’ont pas choisi d’être nées à Akhsmou, Tishkjja, ou autres cratères extraterrestres.
Là devant nos écoliers qui soupirent «à quoi bon essayer.. regardez les».
Là devant et avant des mal foutus qui n’ont jamais vu de parlement parce que chez eux rien n’arrive, ni le temps ni la télé, qu’ils ne trouvent plus quoi donner pour allumer ne serais-ce qu’une ampoule, une idée.. Par Douar.
Est-ce parce qu’il est plus simple de corrompre les Vendredi inclus, parce qu’on ne rate pas la prière, seule chose qui nous arrive à temps. Parce que ça a une mère malade, le loyer, des enfants, que ce n’est pas possible, sans.
Parce que tout le monde le fait, parce que tout le monde en parle, parce que tout le monde est anonyme, et mieux vaut rester comme ça. Ça-va-ça-marche, comme on dit. En attendant que les orbites trouvent les globes des yeux, on fait ce qu'on peu avec les TDQ.
Qui oserait critiquer nos diplômés militants sans cause? L’élite si bien organisée sauf là où il ya besoin. Qui n’hésite pas à s’allumer s’il le faut, là devant le parlement, parce que c’est un drame, parce que c'est publique, et c’est quand même distinct de ceux qui préfèrent se faire sauter ailleurs. L’âne et le coq. La différence!
Qui saurait déblatérer des doc-post-doc qu’ils soient mal nés, mal éveillés, mal éduqués, qui ne revendiquent qu’une fonction: Publique! seulement svp. De préférence un bureau à portée de la ville. Universitaire de préférence. Pas de privé merci, à cause des habitudes.
Jamais, mais alors surtout pas du tout dans un de ces gouffres où il n’ya ni café, ni eau ni électricité, ni dispensaire, brefs tout ces paradis littéralement vierges pour diplômés, et moins diplômés en littérature, économie, médecine et autres savoirs précieux. Là où tous attendent que l'autre fasse quelque chose. A l'autre.
La presse marocaine fête son prix national. KHI d’aujourd’hui, président de jury du Politzer marocain a distribué les médailles: «Nous souhaitons qu’aucun journaliste ne puisse perdre sa liberté pour avoir exprimé une opinion ou pour l’exercice ordinaire de son métier».
Amen! Ordinaires et sans opinion, comme l’année d’avant Mr KHI qu’ils seront servis l’année prochaine. Absents pour raison d’exile, malaises juridiques, ou œuvres extraordinaires, s’abstenir.
Deux conseillers du roi ont brisés la barrière du silence pour nous dire comment ‘ÇA’ fonctionne. Ils ont éduqués, plutôt chaté avec des journalistes cette semaine pour s’expliquer qu’ils ont dit. Déjà ça.
L’ère des questions plantées et des articles marinés au gout et à point n’est plus il parait, ou alors l’assise se serait trompé de manuel. La transcription de l'interview ressemble plutôt à un conte très mal traduit sur les «Bonnes du Palais».
Pour ceux que la position intéresse, rassurez-vous, «prendre la balle» pour son Roi n’est pas dans la description du job d'un conseiller. Ils l'ont dit.
Coté pile. Abdelaziz Meziane Belfkih : L’on devrait également se méfier, à cet égard, de la tentation facile, consistant parfois à faire des Conseillers un bouc émissaire et de leur prétendu pouvoir un alibi et une justification. Il va de soi que le Conseiller de Sa Majesté le Roi n’est ni un acteur autonome ni une autorité, et encore moins une institution »...
raide mort d’une crise aigue d’hémorroïdes plutôt que de prendre la balle pour le boss. «Ain’t my shit!» Bien compris.
Difficile à ponctuer.
Prions que nos prières ne se trompent jamais d'adresse.
Moh
Rien.
Résume l’événement au Maroc cette semaine. La presse du bled fait ce qu’elle peu avec ce qu’on veut, ce qu’on sait, ce qu’on peu, ce con de.. Rayer les mentions difficiles.
Le site du Journal Hebdo est toujours en vacances d’été, Telquel continu à s’humecter la poudrière -presque à point l’ARB -, le Matin et appendices , toujours à la même adresse.
De rien!
L’expression est libre tant qu’il ne reste plus grand monde pour en faire usage. Scenario sans acteurs. Un peu comme des élections sans électeurs: Libres-transparentes-mais. 3% en électeurs bruts que disent les mauvaises langues à propos des législatives 7/9/7.
Belle la démocratie ‘plein-air’ sans temple et sans gardiens. Le rêve! On tripote comme on peu dans les vergers de l’à-peu-près en rêvant de la chose vraie. Ça occupe et c’est inoffensif.
Nos heureuzélus se pointent, le temps de serrer un oui. Juste ce qu’il faut au marchant de passer son sable sans compter les absents, parce que LE programme est plus vieux que les élections. L’ours est gras et l’hiver est là.
Je n’ai pas le courage de dire que ça viens de moi.
Parce que j’ai peur!
Moh
Parce que nous n’avons pas le choix.
«j’ai mal au foie!» soupire le mal logé de conscience. Une sensation qui confond romances et imprudences. Là! ’l’koubouiiida’ en marocain. Ce drive qui bipasse les modulations de fréquences, et qui renvoi aux commendes du juste, tout simplement parce que c’est pour l’autre. Cet autre qui colle en jumeaux refondus siamois –Koubidopages- qui ne RAMe jamais et qui ne peut lâcher ce qu’il est. L’autre capitaine Adib, l’autre caïd qui accuse, l’autre maitre, l’autre journaliste, l’autre Targis et plein d’autres Galileo pour qui les choses ont tournés dans le sens douloureux. Parce qu’agir en citoyen n’est plus gratuit à la tribu de l’Autel sacré.
RAMe qui peu.
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