Moh Blog

J’ai été frayer à la source. Le plein! pour ne pas exagérer.
Parlons des queues au Maroc, sans déculotter les garguilles.

Les queues qui figent pour bronzer sans interrompre les vas et viens du piston bien administré de la fonction publique. Là où le suivant est exempt de queue. D’office.

Les choses ont changés à la source. Les bergers ne se cachent plus pour traire le mouchkil. Ils encaissent. Le tampon du directeur marque la cadence au son de quelques balles le coup. Dang.. DAng..DANg.. DANG..danG..daNG.. Vous avez compris. Comme tout le monde.

En deçà de la fonction publique l’habitude charrie. Plus c’est grand la queue, plus c’est serré. Handicapés, peaux à pH non acide, non-athlètes du larynx et de la vessie, s’abstenir. Un peu à l’image des colonnes de notre presse. Le spectacle!

Les colonnes et éditoriaux qui suivent font dans la nature. Farcir le vide. Les vendeurs de papier encré couleur du jour (black) attendent que l’événement.. leur arrive. TelQuel. Le boulanger n’a pas de savon qu’il dira lui-même aux cons qui se sont trompés de queue.

Le mort va parler qu’on dit déjàs de "Si-Driss". Il ne verra point le PJD faire du rodéo sans monter la bête. L'enterrement du vizir n'aura pas lieu. Simplement.

J’écris pour ne pas réfléchir, et c’est tout le temps que j’ai cette semaine.

Moh

publié par Moh  # 21:32