Arganier des Amghars passés-présents,
ce rêve me hante.
Comme on porte les pustules des autres,
qu’on gratte la teigne des qu’on ne peu dire,
penchés sur leur excès de vérole.
Comme le tourment qu’on n’y peu rien,
qui enrage la dent qui ne mord plus,
casée parmi tant qui se rangent, qui s’arrangent..
un sourire!..
Au plaisir des botteurs des ânes.
Après la prière sur les ancêtres
leurs morts tués aussi bien sûr.
Bon élève, bonnes notes, bonne a tout taire,
Il me colle comme un Bang de conscience ce rêve.
L’abcès de Cartage éructe à noyer les vallées du Nile,
de suite les océans ne sont plus si profonds.
Le marécage est saisi de ce "scent"
qui n’en fini pas de faire pousser des nerfs.
La fleure qu’on jure apaise, inverse l’apesanteur.
Elle s’envole! fishe les camps... Tout simplement.
La vallée s’efface, Ramsès se noie,
l’orage baroudeur brasse encore les horizons.
Les regards accrochent les néants du ciel qui s’élève.
Moses! Que va ce vent?
Soumis j’inverse le cœur pour une prière de pluie.
Puissent les océans fusent. Moses!
Pitié! Une fleur qui a des ailes!
Le rêve récure..
comme grand-mère suppliciait sa peau de chèvre.
La cruche est vide, l’agent a fondu son beurre.
La peau des mouches qui reste me tente.
J’ai faim.
Dur à chier
Un Arganier Amghar.
Moh